Mais quelle est donc la réponse au poème de ce matin ?
La Lune – CREDIT : Julien Mauceri Photographies / Image non libre de droit
La solution : la Lune
Elle est là, suspendue dans le ciel, familière et pourtant insaisissable. La Lune, cet astre froid mais fascinant, accompagne nos nuits depuis toujours. Elle éclaire sans chaleur, influence les marées, rythme les calendriers anciens, et alimente les croyances depuis la nuit des temps.
On l’observe, on la photographie, on lui adresse des poèmes. Et pourtant, malgré toutes nos avancées scientifiques, elle conserve son mystère. Elle est tour à tour pleine, discrète, absente. Parfois maîtresse des cauchemars, parfois confidente silencieuse des rêveurs.
Des astronautes l’ont foulée, des civilisations l’ont adorée, mais elle garde une distance, une pudeur. Elle est à la fois simple sphère de roche et miroir symbolique des émotions humaines. Elle traverse les siècles, impassible, et chacun la voit différemment selon l’heure, l’endroit, ou l’état d’âme.
C’est bien elle : la Lune.
Celle que l’on contemple sans tout à fait comprendre,
celle qui inspire sans jamais parler,
celle qui veille, chaque nuit, sans jamais vraiment se dévoiler.
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