Jeunesse Covid : génération sacrifiée !

Jeunesse Covid
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SAISON 7 / EPISODE 5

Depuis 1 an, le masque est devenu le quotidien des français, une habitude même. Certains enfants ont connu plus la crise sanitaire que le monde « normal ». Comment réagissent ces jeunes enfants au bouleversement que nous traversons ? Comment les préparer au mieux à l’après ?

​Sport, musée, cinéma, concert. A 10 ans, les enfants ont besoins de s’émerveiller et de s’instruire. Aujourd’hui de nombreux espaces sont fermés. Comment réussir à les intéresser à la culture et le sport, secteurs « bannis » par le covid ? Leur curiosité sera-t-elle suffisamment éveillé ? Comment vont-ils gérer le retour à la vie « normale » ?

​Diplômé en 2020, les étudiants ont-ils la reconnaissance nécessaire ? A l’heure actuelle, beaucoup se demandent ce que vaut leur diplôme. Comment trouver un emploi tout fraichement sorti de l’école ? Les chefs d’entreprise sont-ils à la recherche d’alternant ?

​Vie sociale sacrifiée. Cette année la majorité des jeunes n’ont pas pu souhaiter leurs anniversaires, ni même se rassembler dans un bar ou un restaurant. Encore moins en boite de nuit. Les adolescents et jeunes adultes passent-ils à côté de leur jeunesse ? Comment maintenir le lien social malgré la situation ?

Hikikomori, coupés du monde : la vie cloitrée des adolescents. Comment maintenir le lien social malgré la situation ?

Jeunesse Covid : génération sacrifiée ! C’est notre prochaine enquête dans Faut qu’on en parle, vendredi 26 février à 21h sur vos radios en direct, sur le live Facebook et sur le www.fautquonenparle.fr

Les invités de l’émission Jeunesse Covid :

  • ​Pierre-Louis NOORENBERGHE – Ancien étudiant et Responsable du campus chez My business School à La valette du var
  • Clémentine DEWALLY – Vice-Présidente du Bureau des Etudiants IAE Moove Toulon
  • Catherine ROSSI – Charge de projet a la MIAJ (Mission locale) à la Seyne sur mer
  • Victor BRESTEAU – Président du Bureau des Etudiants IAE Moove à Toulon
  • Sarah DESALONS – Chargé de projet a la MIAJ Ouest Var
  • Marie-Gaelle GIRAN – Psychologue à Aubagne
  • Benjamin BOUQUIER – Etudiant en BTS

Les chiffres clés de l’émission Jeunesse Covid :

Quel est l’état de santé mentale des Français ?

Il y a  une augmentation importante des troubles dépressifs et anxieux. La prévalence a doublé entre fin septembre (10%) et début novembre (21%) et tous y sont concernés. Mais plus particulièrement ceux en  situation financière très difficile, ceux ayant des antécédents, les inactifs et les 18-34 ans.

Puisque on parle des étudiants, Focus sur le Bac 2020, ce diplôme si emblématique !

Et bien le nombre d’admis au Bac 2020 vient d’être battu haut la main comparée aux autres années. En juin 2020, on compte 95,7 % d’admis contre 88,1 % en 2019.
En 2020, 740 584 candidats se sont présentés aux épreuves du baccalauréat, 53,9 % dans les séries générales, 21 % dans les séries technologiques, 25,1 % dans la voie professionnelle et que donc plus de 700 000 l’ont eu. On voit même un taux record pour le bac général de 98,4 % c’est énorme !

Là nous parlons des bacheliers, des inscrits au bac, mais derrière cet excellent chiffre se cache une autre réalité !

Il faut en réalité distinguer le taux de réussite au bac de la proportion de bacheliers au sein d’une même génération. Ce chiffre, plus confidentiel, est pourtant bien plus représentatif : 20% des enfants nés en 2001 n’a pas eu son bac en 2019. Cela peut paraître déjà beaucoup, mais ce chiffre est à nuancer. En 1985, 71% des jeunes qui n’avaient pas le bac !

Concernant les autres diplômes la tendance est la même ?

Oui clairement, tous les taux de réussites aux examens ont été en nette progression alors qu’il y a eu le premier confinement.

D’autres chiffres sur les étudiants en France ?

2,73 millions d’inscriptions ont été enregistrées. Leur nombre a progressé par rapport à l’année précédente avec + 43 300 étudiants. En cinq ans, à dispositif équivalent, l’enseignement supérieur a accueilli 234 700 étudiants supplémentaires soit + 1,8 % par an en moyenne). On peut préciser que sur ces 2,73 millions, 1 675 000 étudiants sont inscrits dans des universités en France métropolitaine.

Les jeunes font souvent la fête et là c’est plus possible, tu peux nous donner un état des lieux ?

Oui, par exemple dans le « monde d’avant », il y avait près de 1200 boites de nuit pour faire la fête en France, plus de 430 ont déjà déposé le bilan à la mi-janvier 2021. Autant dire que c’est l’hécatombe. Les jeunes ne peuvent plus prolonger la fête en boite.

Concernant les bars et les restos c’est pareil impossible de passer un moment sympa entre amis…

Et oui, en France, où le secteur de l’hôtellerie-restauration comprend 168 000 restaurants et pas moins de 38 800 bars et cafés, plus de 30 000 fermetures vont avoir lieu, un écart est important entre Paris et l’ile de France qui perdrait 30% de ses bars et 15% dans le reste de la France.
Autant dire que même après la crise le temps que la croissance reparte dans ce secteur il y aura beaucoup moins d’endroit pour passer un moment convivial entre amis.

Jeunesse covid génération sacrifiée

Les invités de l’émission génération covid – Crédit : Faut qu’on en parle !

Live de l’émission génération jeunesse covid génération sacrifiée :

Qu’est-ce que cela signifie d’être un lycéen ?

Lorsque vous êtes lycéen, vous êtes au centre de tout. Le lycée est la période où vous découvrez qui vous êtes et ce dont vous êtes capable. Vous allez vous faire de nouveaux amis, expérimenter de nouveaux passe-temps et peut-être même fonder une nouvelle famille. La plupart du temps, vous étudierez, mais vous apprendrez aussi à devenir un membre de la société. Vous vous préparerez à l’avenir en développant vos compétences techniques, mais vous apprendrez aussi les valeurs et les attitudes qui vous aideront à réussir en tant qu’adulte. Vous serez testé, mis au défi et poussé à atteindre un niveau incroyable. Vous aurez également l’occasion de participer à des activités en dehors de l’école qui vous aideront à trouver qui vous êtes et ce que vous voulez faire du reste de votre vie.

Quels types d’élèves fréquentent les écoles secondaires ?

– Les élèves qui se préparent à devenir des ingénieurs, des techniciens et des technologues. – Les étudiants qui se préparent à devenir des concepteurs, des architectes et des gestionnaires. – Les étudiants qui se préparent à devenir des enseignants, des chercheurs et des scientifiques. – Les étudiants qui se préparent à devenir des artistes, des spécialistes des médias et des designers.

Caractéristiques clés des étudiants très efficaces

  • Ils sont très motivés. Ils sont avides d’apprendre et considèrent l’apprentissage comme un défi et une source de plaisir.
  • Ils sont curieux. Ils veulent savoir pourquoi les choses arrivent, ils veulent comprendre pourquoi les gens font des choses et ils veulent penser à leur avenir. – Ils sont déterminés. Ils n’ont pas peur de travailler dur, ils n’ont pas peur d’échouer et ils n’ont pas peur de poser des questions.
  • Ils sont persévérants. Ils n’abandonnent pas s’ils ont un objectif et ils n’abandonnent pas un objectif lorsqu’ils ont un parcours difficile.
  • Elles sont indépendantes. Elles ne comptent pas sur les autres pour faire les choses à leur place et elles n’ont pas peur de prendre des décisions par elles-mêmes.

Pourquoi est-il important que les futurs diplômés de l’enseignement secondaire deviennent des enseignants ?

L’enseignement est une excellente profession pour de nombreuses raisons. Tout d’abord, c’est une profession noble qui profite à la société. En tant qu’enseignants, vous aiderez les élèves à atteindre leur plein potentiel grâce à l’éducation. Si vous avez trouvé une passion pour l’enseignement, c’est peut-être une grande vocation pour vous. Outre le fait que l’éducation profite à la société en fournissant des travailleurs qualifiés, il s’agit également d’une profession noble qui offre des possibilités d’amélioration personnelle.

En tant qu’enseignant, vous serez en mesure d’aider vos élèves à apprendre de nouveaux concepts et de nouvelles compétences, ainsi qu’à devenir de meilleures personnes. Vous serez en mesure de constater l’impact positif de votre enseignement sur vos élèves. C’est une excellente façon de s’améliorer et de faire une différence dans le monde.

Le résultat final

Avec une telle diversité de sujets et d’élèves du secondaire, il n’est pas étonnant que le résultat final soit une génération diversifiée. Avec des perspectives et des idées différentes, la génération aura également une grande variété de problèmes à résoudre. Cela l’aidera à devenir des leaders, même lorsqu’elle est jeune. Enfin, la génération aura l’occasion d’acquérir de nouvelles compétences, de changer le monde et de faire la différence. Tel est le rôle d’un élève du secondaire.

Impact sur les étudiants des années pré-baccalauréat

Le premier impact de la pandémie concerne les élèves des classes pré-baccalauréat. Il s’agit d’élèves en fin de collège (généralement entre 14 et 15 ans), qui ont été exposés à la pandémie et se sont retrouvés dans la pire des situations. Ils n’ont pas pu se préparer à l’examen du baccalauréat, qui est nécessaire pour entrer dans une université ou pour accéder à une majorité d’emplois en France. Pour les étudiants de ce groupe, s’ils souhaitent poursuivre leurs études et n’ont pas pu passer le baccalauréat, leurs options sont très limitées.

Si la pandémie n’est pas encore terminée, ils risquent de ne pas pouvoir poursuivre leurs études. Cependant, même si la pandémie est terminée, leurs options sont très limitées. Par exemple, les étudiants qui n’ont pas pu passer le baccalauréat et qui souhaitent suivre des études d’ingénieur dans une école d’ingénieurs doivent avoir passé et réussi l’examen d’entrée avant leur 19e anniversaire. Cela signifie que même si la pandémie se termine avant qu’ils aient 19 ans, ils n’auront pas pu passer l’examen et ne pourront pas étudier dans une école d’ingénieurs française.

Impact sur les étudiants des années post-baccalauréat

L’impact de la pandémie sur les étudiants des années post-baccalauréat est à la fois mental et physique. Les étudiants qui n’ont pas pu préparer l’examen pendant la pandémie avec le reste de leur classe ont dû le faire par la suite, ce qui a créé un impact mental pour eux. La différence entre les élèves qui ont pu préparer l’examen avec leur classe et ceux qui n’ont pas pu le faire est très nette. Les élèves qui n’ont pas pu se préparer à l’examen avec leur classe ont pris du retard dès le départ, et cette différence est perceptible depuis le début de la saison des examens. La pandémie a également eu un impact physique sur les étudiants des années post-baccalauréat.

Les étudiants qui n’ont pas pu se préparer à l’examen pendant la pandémie ont dû se préparer à l’examen par la suite, ce qui leur a pris beaucoup de temps. Les étudiants de ce groupe n’ont généralement pas pu se préparer à l’examen autant qu’ils l’auraient voulu, ce qui a également eu un impact physique.

L’impact sur les étudiants de l’enseignement supérieur

L’un des groupes les plus touchés par la pandémie est celui des étudiants de l’enseignement supérieur. Les étudiants de ce niveau sont généralement les plus âgés de leur classe et sont les moins à même de faire face à la pandémie. Comme ils sont les plus âgés de leur classe, ils ont été les plus touchés par la pandémie. Ils n’ont pas pu accéder à leurs cours, qui ont été fermés pendant la pandémie, et ils n’ont pas non plus pu faire les recherches nécessaires à leurs projets. Les étudiants de l’enseignement supérieur ont également dû faire face à un changement majeur dans le système des examens.

Ils ont été le premier groupe dont les dates d’examen ont été modifiées en raison de la pandémie. En tant que groupe, ils n’ont pas pu passer leurs examens à la fin de la saison des examens, et ceux-ci ont été reportés au début de l’année suivante. Cela a été très difficile pour les étudiants de l’enseignement supérieur, car cela a constitué un changement majeur pour eux et a diminué leur capacité à utiliser leurs connaissances de l’année précédente.

L’impact sur le système éducatif français

La pandémie a eu un impact majeur sur le système éducatif français dans son ensemble. La pandémie a entraîné l’annulation de nombreux examens et a obligé le système éducatif français à modifier un grand nombre de ses dates et de ses règles. Le changement le plus évident a été l’annulation de nombreux examens. La pandémie a entraîné l’annulation de nombreux examens, ce qui a affecté à la fois les élèves et les enseignants. Les élèves n’ont pas pu passer leurs examens aux dates prévues et les enseignants ont dû annuler des cours. La pandémie a également contraint le système éducatif français à modifier un grand nombre de ses dates et de ses règles. Le changement le plus évident est l’allongement de la période des examens. La saison des examens, qui est généralement très courte, a été prolongée afin de donner aux étudiants plus de temps pour étudier.

L’impact sur le système éducatif mondial

La pandémie a eu un impact majeur sur le système éducatif mondial dans son ensemble. La pandémie a eu un effet majeur sur la façon dont les étudiants et les enseignants pensent aux études et à l’éducation. L’un des effets les plus évidents de la pandémie est que de nombreux étudiants et enseignants ont dû modifier leurs priorités. Alors qu’ils aimeraient se concentrer sur l’éducation et les études, ils ont dû se concentrer sur les moyens de survivre à la pandémie. Ils ont dû s’efforcer de rester en bonne santé et de prendre soin de leur santé et de leurs proches, et ils ont dû réfléchir à la façon dont la pandémie affectera leur vie.

Que se passe-t-il lorsque vous vous inscrivez dans un lycée ?

Les élèves des lycées français passent leur première année à apprendre la langue française. Pendant cette période, les élèves de première année sont placés dans des classes et des établissements différents selon l’école qu’ils ont choisie. Les élèves peuvent décider de leurs cours à option dès la première année dans les lycées français. En deuxième et troisième années, les élèves des lycées français sont tenus de suivre des cours de langue française dans le cadre de leurs études générales. Certaines écoles générales proposent également des cours dans des disciplines supplémentaires telles que l’art, la musique et le sport. Sur le plan académique, les lycées français sont similaires à leurs homologues américains. Il n’y a pas de cours obligatoires de religion, de sorte que la plupart des élèves choisissent de suivre des cours dans des disciplines supplémentaires telles que la musique ou le sport. Après le lycée, les étudiants français peuvent choisir de poursuivre leurs études à l’université ou d’entrer dans la vie active. Certaines universités proposent un cours préparatoire d’un an pour les étudiants qui veulent obtenir un “bac s”. Les universités délivrent des diplômes de licence après trois ou quatre ans d’études.

Demander un baccalauréat

Une fois que les étudiants ont obtenu leur “bac s”, une variété d’universités et d’instituts les accepteront pour une licence. Les étudiants doivent généralement suivre des cours généraux pendant leurs deux premières années d’université et se concentrer sur une discipline spécifique pendant les troisième, quatrième et cinquième années. Il n’existe pas de conditions d’admission spécifiques pour les universités françaises, mais les étudiants doivent généralement passer un examen d’entrée au lycée pour s’inscrire à un programme universitaire. La durée d’une licence varie selon l’université et la discipline. Dans certaines universités, les étudiants peuvent obtenir un “bac+2” ou un “bac+3” selon la discipline et la durée des études. Les diplômes de bachelor sont délivrés par les universités.

Les titulaires

Après avoir obtenu leur licence, les étudiants français peuvent choisir de poursuivre des études supérieures ou d’entrer dans la vie active. Les étudiants peuvent obtenir un master dans les universités françaises ou un diplôme professionnel dans un institut français. Les diplômes professionnels sont délivrés après trois ans d’études, tandis que les masters prennent généralement deux ans. Les diplômes professionnels peuvent mener à des emplois d’avocat, de comptable, d’ingénieur ou de médecin. Les diplômes de droit et de comptabilité sont les plus recherchés. Les masters sont également utiles pour trouver un emploi, mais ils sont moins réglementés que les diplômes professionnels et peuvent être plus flexibles. Les étudiants qui souhaitent travailler dans un domaine lié à leurs études, ou qui excellent dans une certaine discipline, peuvent également obtenir un doctorat. Les doctorats sont décernés par des universités ou des instituts et leur obtention prend de un à trois ans. Un doctorat mène à une carrière universitaire, mais de nombreuses universités proposent également une option “PhD+” qui mène à un emploi plus spécialisé.

Oraux

Les universités françaises proposent généralement une variété de sujets pour les licences et les masters. Les étudiants peuvent choisir parmi une variété d’options telles que le droit, la littérature et la linguistique, l’économie, l’ingénierie, la médecine, la biologie et l’informatique. Les étudiants qui souhaitent un diplôme plus spécialisé peuvent choisir parmi une sélection d’options telles que la médecine et la biologie. Il faut généralement trois ans pour obtenir un diplôme de licence, et deux ans pour obtenir un diplôme de master. Les étudiants commencent généralement leur cursus en deuxième année de lycée, mais ils peuvent commencer n’importe quelle année après leur “bac s”. Tous les cours universitaires sont exclusivement en français, à l’exception de certains cours spécialisés qui sont offerts en anglais. La plupart des universités offrent une variété de programmes d’échange avec des universités européennes et américaines qui sont ouverts aux étudiants français et internationaux.

Stmg

Les universités françaises délivrent des diplômes après quatre ou cinq ans d’études. Les étudiants qui souhaitent suivre un programme à court terme peuvent s’inscrire dans un programme de licence “stmg” ou “technologique” d’une université. Ces programmes sont plus courts que les licences classiques, généralement d’une durée de deux ans, et sont conçus pour les diplômés sans expérience post-secondaire. Les programmes “stmg” diffèrent des diplômes standard en ce sens que les étudiants n’écrivent pas de dissertation ou de document de recherche. Tout le travail académique se fait par le biais d’une série de projets et d’un plan d’apprentissage individualisé approuvé par l’université.

Grandes écoles

Les Grandes écoles délivrent une “licence professionnelle” après deux ans d’études à temps plein. Les grandes écoles sont des universités privées qui délivrent des diplômes en ingénierie, informatique, architecture, gestion et sciences physiques. Après l’obtention de leur diplôme, les étudiants peuvent choisir de travailler dans une entreprise publique ou privée d’ingénierie ou de gestion. Les Grandes écoles ne sont pas subventionnées par le gouvernement français, elles ont donc tendance à être plus chères que les universités publiques. Il n’y a pas d’examen d’entrée standard pour entrer dans une grande école, mais les résultats des examens d’entrée sont généralement compétitifs. Les grandes écoles ne sont généralement ouvertes qu’aux bacheliers. Certains étudiants choisissent de fréquenter une grande école avant l’université, mais la plupart des étudiants de premier cycle entrent dans une université publique.

Enseignement supérieur

Les universités françaises délivrent des diplômes de licence après trois ans d’études. Après avoir obtenu leur licence, les étudiants peuvent entrer dans un programme de master en cinquième année d’études ou poursuivre leurs études pour un doctorat. Les universités ne sont pas tenues de délivrer des diplômes. Certaines universités proposent un programme d'”école doctorale” permettant aux étudiants de poursuivre un doctorat au cours de leur sixième année d’études. La majorité des étudiants universitaires obtiennent un diplôme de bachelor ou de master. Pour devenir professeur d’université, la plupart des étudiants fréquentent un “centre d’éducation des professeurs” ou un “collège d’éducation” pendant leurs études de premier cycle. Les étudiants suivent des cours de formation générale axés sur la littérature et l’histoire. Après avoir terminé leurs études de premier cycle, les étudiants peuvent s’inscrire à un programme de maîtrise. La plupart des étudiants obtiennent un master au cours de leur deuxième ou troisième année d’études.

Post-bac

Après avoir obtenu leur diplôme universitaire, les étudiants ont généralement au moins deux ans d’expérience professionnelle avant de s’inscrire à un programme de maîtrise. Si un étudiant a moins de deux ans d’expérience professionnelle, il peut entrer dans un programme “bac+2” ou “bac+3”. La plupart des universités proposent un programme “post-bac” après six ou sept ans d’études pour aider les étudiants qui souhaitent poursuivre leurs études mais n’ont pas suffisamment d’expérience professionnelle. Les étudiants peuvent également s’inscrire à un programme “post-bac” après avoir obtenu une licence. Les programmes post-bac peuvent durer un an, deux ans ou même trois ans. La durée du programme dépend de l’université et du choix de cours de l’étudiant. De nombreux programmes post-bac sont des programmes appliqués ou professionnels qui préparent les étudiants à une profession spécifique après l’obtention de leur diplôme.

BAC S

Après avoir obtenu leur baccalauréat, les étudiants qui veulent poursuivre leurs études doivent passer le “bac S”. Le bac S est une épreuve de français qui mesure les connaissances des élèves en langue et littérature françaises. Le bac S est une épreuve de trois heures qui comprend des questions à choix multiples et des questions à développement. L’épreuve comporte également des sections de compréhension écrite et de rédaction. Le bac S est proposé en français et dans plusieurs langues européennes. Le bac S est noté sur une échelle de 1 à 10 et les élèves reçoivent une note du bac S. Pour réussir le “bac S”, les élèves doivent généralement obtenir une note de 7 ou plus.

Lycée général

Les lycées généraux sont des établissements publics qui proposent aux élèves une variété de matières issues du bac S. Les lycées généraux se trouvent généralement dans les zones urbaines et proposent aux élèves un éventail de disciplines allant des mathématiques aux arts et à la musique. Les lycées généraux sont obligatoires pour les élèves qui veulent aller à l’université. Les lycées généraux sont similaires aux écoles américaines, mais ils proposent moins de cours Advanced Placement que les écoles américaines.

Conclusion : La nécessité de reconnaître les sacrifices des jeunes de Covid

La pandémie de 2009 a eu un impact majeur sur l’éducation en France et dans le reste du monde. La pandémie a eu un impact majeur sur les étudiants des années pré et post-baccalauréat, mais elle a également touché les étudiants de l’enseignement supérieur et l’ensemble du système éducatif mondial. La pandémie a forcé les étudiants et les enseignants à changer leurs priorités et à prendre soin d’eux-mêmes et de leurs familles, et cette attention portée à eux-mêmes les a rendus moins susceptibles de se concentrer sur l’éducation.

La pandémie a non seulement forcé les étudiants à changer leurs priorités, mais elle les a aussi obligés à changer leur façon de penser l’éducation. Les jeunes en France, et dans le monde entier, ont dû faire des sacrifices pendant la pandémie. Ces jeunes, que l’on appelle souvent les jeunes du Covid, ont dû changer leurs priorités pendant la pandémie et ont dû changer leur façon de penser l’éducation. La pandémie a eu un impact majeur sur les jeunes Covid, mais elle a également eu un impact sur le reste du monde.