Effet accordéon, saturation ou curiosité : les embouteillages répondent à des mécanismes bien précis sur les routes françaises.
pourquoi il y a des bouchons – CREDIT : VarActu
Qui est responsable du premier ralentissement
Sur la route, la question revient souvent : comment un simple ralentissement peut-il se transformer en un interminable bouchon ? À l’image de l’œuf et de la poule, il est parfois difficile d’identifier la première voiture à l’origine de la densification du trafic. Pourtant, les mécanismes à l’origine des embouteillages sont aujourd’hui bien identifiés.
Trois types de bouchons bien distincts
Comme le rappelle l’auto-école en ligne En Voiture Simone, il existe principalement trois types d’embouteillages : le bouchon en accordéon, le bouchon de saturation et le bouchon de curiosité. Chacun répond à une logique différente, mais tous aboutissent au même résultat : des files de voitures à l’arrêt ou au ralenti.
L’effet accordéon le plus fréquent
Le bouchon en accordéon est le plus courant. Il débute lorsqu’un conducteur ralentit légèrement, souvent par précaution. Le véhicule suivant freine à son tour, puis celui d’après, créant une réaction en chaîne. À mesure que l’onde de ralentissement se propage, elle s’amplifie jusqu’à provoquer un arrêt complet de la …
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