Annoncé comme une apocalypse numérique, le bug de l’an 2000 est surtout resté dans l’histoire comme une immense alerte sans catastrophe visible.
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Une fin du monde annoncée à minuit
À la fin des années 1990, une inquiétude technologique sans précédent s’installe dans les esprits. Le passage à l’an 2000 devait, selon certains experts et de nombreux scénarios catastrophes, provoquer un effondrement global des systèmes informatiques. Avions cloués au sol, banques paralysées, ascenseurs bloqués et même centrales nucléaires hors de contrôle, tout semblait possible. Le fameux bug de l’an 2000, lié à l’enregistrement des dates sur deux chiffres, s’est transformé en angoisse planétaire à l’approche du 1er janvier 2000.
Une mobilisation mondiale hors normes
Face à cette menace, gouvernements, entreprises et administrations ont sorti le chéquier. Des milliers d’ingénieurs ont été mobilisés, des logiciels entièrement réécrits et des audits massifs lancés dans l’urgence. À l’échelle mondiale, la facture se chiffre en centaines de milliards de francs. En France comme ailleurs, les nuits blanches se sont multipliées pour s’assurer que le fameux « 99 » deviendrait bien « 2000 » sans provoquer d’arrêt brutal des systèmes. Une préparation titanesque pour éviter ce qui était présenté comme …
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