Une étude internationale révèle qu’un premier dépistage manqué augmente de 40 % le risque de décès par cancer du sein 25 ans plus tard.
Premier dépistage cancer du sein – CREDIT : VarActu
Un risque de mortalité accru de 40 % en cas d’absence de premier dépistage
Une vaste étude internationale, publiée jeudi dans le British Medical Journal, met en lumière les conséquences à long terme d’une absence de participation au premier dépistage du cancer du sein. Conduite à partir des données du programme suédois de dépistage par mammographie entre 1991 et 2020, cette recherche s’appuie sur près d’un demi-million de femmes, âgées de 40 ou 50 ans au moment de leur première invitation.
Selon cette étude menée conjointement par des chercheurs suédois et chinois, 32,1 % des femmes invitées à leur première mammographie ne s’y sont pas présentées. Ce groupe s’est révélé, au fil des ans, moins impliqué dans les dépistages ultérieurs et plus exposé à un diagnostic tardif, souvent à un stade avancé de la maladie.
Une mortalité plus élevée malgré une incidence équivalente
Fait frappant : l’incidence du cancer du sein sur 25 ans était quasi identique entre les deux groupes (7,8 …
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