Les transitions saisonnières ne sont pas anodines pour notre organisme, surtout lors des équinoxes de printemps et d’automne.

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La fatigue des équinoxes de printemps et d’automne – CREDIT : Pixabay

Des changements biologiques influencés par la lumière

Chaque année, aux alentours du 20 mars et du 23 septembre, les équinoxes marquent des moments où la durée du jour est égale à celle de la nuit. Ces transitions influencent notre horloge biologique interne, ou rythme circadien, qui est fortement dépendant de la lumière. Lorsque l’intensité et la durée d’ensoleillement changent brusquement, cela peut perturber notre sommeil, notre appétit, et même notre humeur.

Cette désynchronisation peut entraîner une sensation de fatigue persistante, comparable à un léger « jet lag ». Le corps met alors plusieurs jours, voire semaines, à s’adapter à ce nouveau rythme naturel.

Une adaptation physique et psychologique nécessaire

Outre les effets sur le sommeil, les équinoxes influencent également d’autres paramètres physiologiques. En automne, par exemple, la baisse de lumière naturelle peut conduire à une diminution de la production de sérotonine, l’hormone du bien-être. En parallèle, la production de mélatonine, hormone du sommeil, peut augmenter, ce qui provoque somnolence et baisse d’énergie.

Au printemps, la situation est différente mais tout …

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