Taxe Foncière Impôts 2026 : L’État s’invite dans vos toilettes pour vous faire les poches la créativité de la France n’a pas de limite même kim jong un est en PLS.
C’est la nouvelle trouvaille de Bercy pour éponger une dette abyssale. Une incompétence unique.
Oubliez les grandes réformes structurelles ou la baisse des dépenses publiques.
Le gouvernement a trouvé plus simple : compter vos lavabos, vos douches et vos WC pour gonfler artificiellement votre taxe foncière. Une inquisition fiscale qui frise l’indécence et qui confirme que le propriétaire français est devenu l’ennemi public numéro un.
Mais ne vous inquiétez pas les familles de nos chères ministres, nos dépûtés, sénateurs eux ne seront jamais contrôlés. Mais nous français moyen, nous allons bientôt l’être. Plutôt 2 ou 4 wc. Car pour une famille de 4 personnes 1 toilette est trop peu, deux bof trois est l’idéal, oui trois, car ce n’est pas un luxe, comme notre chauffage.

Taxe Foncière Impôts 2026 L’État s’invite dans vos toilettes pour vous faire les poches la créativité de la France n’a pas de limite même kim jong un est en PLS.
Il y a des nouvelles qui font sourire tant elles paraissent absurdes, et d’autres qui glacent le sang tant elles révèlent la dérive de notre système. La mise à jour des fichiers de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) pour le budget 2026 appartient à cette seconde catégorie. À la recherche du moindre centime pour combler le trou béant de la dette publique, l’État a décidé de lancer une grande offensive sur… votre confort sanitaire.
Oui, vous avez bien lu. En 2026, la présence d’une baignoire, d’une douche ou même de simples toilettes dans votre logement ne sera plus seulement une question d’hygiène, mais un véritable luxe fiscal que vous allez payer au prix fort.
La magie noire du fisc : quand un lavabo devient une pièce à vivre
La mécanique mise en place est d’une créativité redoutable. Pour augmenter la base imposable sans avoir l’air d’augmenter les taux (la vieille ruse politique), le ministère de l’Économie utilise un système de conversion digne d’un roman de Kafka.
Désormais, chaque élément de confort est traduit en “mètres carrés fictifs” qui s’ajoutent à la surface réelle de votre bien. Jugez plutôt du barème :
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L’eau courante ? 4 m² ajoutés.
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L’électricité ? 2 m².
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Un lavabo ? 3 m².
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Des WC ? 3 m².
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Une baignoire ? 5 m².
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Le chauffage central ? 2 m².
Faisons le calcul. Vous avez une petite salle de bain rénovée avec une baignoire, un lavabo et des toilettes ? Aux yeux du fisc, votre maison vient subitement de s’agrandir de 11 mètres carrés. C’est de la magie : les murs n’ont pas bougé, mais votre feuille d’impôt, elle, va exploser. On marche sur la tête. Un lavabo occupant à peine 50 cm² au sol est taxé comme s’il s’agissait d’une petite chambre d’étudiant.
7,4 millions de foyers dans le viseur
Cette “mise à jour” n’est pas anecdotique. Elle cible 7,4 millions de logements, soit un quart des maisons et 15 % des appartements de l’Hexagone. L’objectif affiché est de récupérer 466 millions d’euros par an. Une somme colossale prélevée directement dans la poche des Français moyens.
L’excuse du gouvernement ? La “justice fiscale”. Selon la DGFiP, de nombreux propriétaires ont rénové leur logement sans le déclarer. On pointe du doigt le “méchant fraudeur” qui a osé installer une deuxième douche pour ses enfants sans envoyer un formulaire en recommandé à l’administration. C’est oublier un peu vite que le système déclaratif français est d’une complexité sans nom et que beaucoup de ces “oublis” sont de bonne foi.
Mais qu’importe la raison, le résultat est là : pour renflouer les caisses des collectivités locales – elles aussi asphyxiées par l’État – on tape, encore et toujours, sur la même cible. Le propriétaire occupant, celui qui a travaillé toute sa vie pour se payer un toit, est traité comme une vache à lait inépuisable.
Bientôt l’inspecteur dans votre salle de bain ?
Ce qui inquiète le plus dans cette démarche, c’est la méthode. Jusqu’où l’État est-il prêt à aller pour vérifier ces informations ? Aujourd’hui, on croise des fichiers. Mais demain ?
On sent monter une pression inquisitrice insupportable. Va-t-on voir débarquer des agents du fisc munis de mètres rubans pour vérifier si vous avez bien déclaré le lave-mains des toilettes du rez-de-chaussée ? Va-t-on utiliser l’intelligence artificielle ou surveiller vos factures d’eau pour déduire le nombre de points d’eau chez vous ?
Ne vous inquiétez pas, ici pour qu’un agent de fiscal rendre chez vous il faut un mandat, ici, vous pouvez lui dire non. La France est le pays des droits de l’Homme.
Cette traque aux éléments de confort est humiliante. Elle revient à dire aux Français : “Vous vivez trop bien. Vous avez l’eau chaude et des toilettes ? Payez.” C’est un retour en arrière, une taxe sur la modernité. À ce rythme-là, quelle sera la prochaine étape ? Une taxe sur les fenêtres comme au XIXe siècle ? Une imposition sur le nombre de prises électriques ? Une redevance sur l’air que l’on respire dans son salon ?
Le message est clair : l’intimité de votre foyer ne vous appartient plus tout à fait. Elle est devenue une base de données monétisable pour Bercy.
La saturation fiscale et le risque d’explosion sociale
Il faut remettre cette mesure dans son contexte. Les Français sont à bout. L’inflation a grignoté les salaires, les prix de l’énergie jouent au yo-yo, et la pression fiscale ne redescend jamais. La France reste championne du monde des prélèvements obligatoires, et pourtant, les services publics s’effondrent. Hôpitaux en crise, écoles en difficulté, insécurité… On paie toujours plus pour avoir toujours moins.
Et au milieu de ce marasme, le gouvernement décide d’augmenter la taxe foncière, cet impôt injuste déconnecté des revenus, en comptant le nombre de chiottes ? C’est de la provocation. C’est l’étincelle qui pourrait mettre le feu aux poudres.
On sent monter dans le pays une colère sourde, similaire à celle qui avait précédé le mouvement des Gilets Jaunes. Les gens ne supportent plus d’être considérés comme des tricheurs en puissance. Ils ne supportent plus cette administration kafkaïenne qui cherche de l’argent partout sauf là où il y a du gaspillage : dans sa propre bureaucratie.
La présomption de culpabilité
Le comble du cynisme est atteint avec la procédure de “recours”. La DGFiP, dans sa grande mansuétude, annonce qu’elle enverra un courrier début 2026. Si vous n’êtes pas d’accord avec leur estimation délirante de votre nombre de baignoires, ce sera à vous de le prouver.
C’est le monde à l’envers. L’État vous taxe d’office sur une estimation, et c’est au citoyen de se lancer dans des démarches administratives pour prouver sa bonne foi. “Coupable jusqu’à preuve du contraire”, telle est la nouvelle devise fiscale. Vous aurez jusqu’à fin juin pour contester, via l’espace particulier sur impots.gouv.fr, un site que l’on sait tous d’une ergonomie et d’une clarté légendaires…
Combien de personnes âgées, dépassées par l’informatique, ou de travailleurs débordés paieront sans contester, par lassitude ou ignorance ? C’est sans doute ce sur quoi compte Bercy : l’épuisement des contribuables.
La ligne rouge est franchie
Cette affaire de taxe sur les éléments de confort n’est pas une simple anecdote comptable. C’est le symbole d’un État aux abois, prêt à renier le droit à la tranquillité de ses citoyens pour quelques millions d’euros.
Au lieu de réduire son train de vie, l’État choisit de réduire le vôtre. En 2026, la taxe foncière ne sera plus un impôt sur la propriété, mais un impôt sur la vie quotidienne. Alors, préparez-vous. Si vous comptiez rénover votre salle de bain, réfléchissez-y à deux fois. En France, même la propreté se paie désormais au prix fort. La révolution fiscale est en marche, mais cette fois, elle ne vient pas du peuple. Elle vient d’en haut, et elle a décidé de nous tondre jusqu’à la racine. Reste à savoir jusqu’à quand les Français accepteront de se laisser faire sans rien dire.

